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3 juin 2025

Importer une voiture occasion d’Allemagne : guide de A à Z

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Importer une voiture occasion d’Allemagne : guide de A à Z pour éviter les arnaques

Importer une voiture d'occasion d’Allemagne est devenu une option de plus en plus prisée par les particuliers français à la recherche d’un véhicule d’occasion fiable, mieux équipé et à un prix plus attractif qu’en France. Avec un parc automobile vaste, des modèles récents en abondance, un entretien souvent rigoureux et des tarifs compétitifs, l’Allemagne s’impose comme l’un des marchés les plus intéressants d’Europe pour l’achat d’un véhicule.

Cette démarche peut permettre d’accéder à des modèles haut de gamme (Audi, BMW, Mercedes, Porsche...) à un coût nettement inférieur à celui du marché français, ou de trouver des configurations introuvables chez les concessionnaires hexagonaux. De plus, le professionnalisme des vendeurs allemands et la richesse des plateformes comme Mobile.de ou AutoScout24 donnent l’impression que tout est à portée de clic.

Mais attention : importer une voiture d'occasion d’Allemagne ne s’improvise pas. Entre les documents administratifs à comprendre, les différences de législation, les frais annexes souvent oubliés et les arnaques qui pullulent sur les sites d’annonces, beaucoup d’acheteurs se retrouvent perdus, voire piégés. Un véhicule mal vérifié ou un vendeur peu scrupuleux peut transformer une belle opportunité en cauchemar coûteux.

Pour éviter cela, il est indispensable de bien se renseigner avant de se lancer. Ce guide complet vous explique comment importer un véhicule d’occasion depuis l’Allemagne étape par étape : de la recherche du bon modèle à l’immatriculation en France, en passant par les documents nécessaires, les erreurs fréquentes et les précautions à prendre pour sécuriser votre achat. Et surtout, pourquoi faire inspecter le véhicule par un professionnel avant de conclure la vente est la meilleure décision que vous puissiez prendre.

Pourquoi importer une voiture d’Allemagne ?

L’Allemagne est, de loin, le plus grand marché automobile d’Europe, avec plusieurs millions de véhicules d’occasion mis en vente chaque année. Cette profondeur de marché et la culture automobile locale en font une destination de choix pour les acheteurs français. Voici pourquoi :


  • Une offre extrêmement large, notamment pour les marques allemandes : L’Allemagne est le berceau des marques premium comme BMW, Audi, Mercedes, Volkswagen ou Porsche, qui y sont très largement diffusées. Résultat : les stocks sont abondants, les configurations nombreuses (motorisations, finitions, boîtes auto, options…) et il est souvent possible de trouver un véhicule quasi introuvable sur le marché français. Cela ouvre aussi la porte à des modèles sportifs, break, SUV ou berlines haut de gamme à prix attractifs.


  • Des véhicules mieux équipés qu’en France : Les Allemands sont friands d’options technologiques, de confort ou de sécurité. Il n’est pas rare de trouver des véhicules avec GPS, sièges chauffants, radars de recul, régulateur adaptatif, toit ouvrant, cuir intégral, même sur des modèles compacts. À gamme équivalente, les voitures allemandes offrent donc un bien meilleur rapport équipement/prix.


  • Des prix plus compétitifs, même en ajoutant les frais d’import : Les véhicules sont généralement moins chers qu’en France, pour plusieurs raisons : volume plus élevé, décote plus rapide, fiscalité différente, turnover important dans les flottes d’entreprise. Même en comptant les frais de transport, l’immatriculation et les éventuels ajustements techniques, le gain financier reste significatif dans la majorité des cas, notamment sur les modèles récents ou premium.


  • Un entretien plus rigoureux et souvent mieux documenté : En Allemagne, les normes d’entretien sont strictes, les contrôles techniques (TÜV) sont exigeants et les carnets d’entretien sont souvent à jour. Les vendeurs (notamment professionnels) fournissent généralement un historique complet, les factures et les documents officiels. Cette transparence réduit les risques, à condition de bien vérifier les informations fournies.

Importer une voiture d’Allemagne est donc un choix stratégique pour accéder à des véhicules mieux équipés, mieux entretenus et à un tarif plus avantageux, à condition de suivre une méthode rigoureuse et de s’entourer des bons partenaires.

Étape 1 : Trouver le bon site d’annonce automobile en Allemagne

La première étape pour importer une voiture d’Allemagne consiste à identifier le bon véhicule, auprès du bon vendeur, sur une plateforme fiable. Voici les sites les plus réputés pour chercher une voiture en Allemagne, chacun avec ses spécificités, ses avantages… et ses limites.

Mobile.de

C’est le site d’annonces automobiles le plus utilisé en Allemagne, avec plus de 1,6 million d’annonces en ligne. Véritable équivalent allemand duboncoin pour la voiture, il regroupe principalement des voitures d’occasion, mais aussi quelques modèles neufs. Les annonces sont généralement bien détaillées, avec photos et descriptifs complets. Mobile.de vérifie en partie les publications, mais la prudence reste de mise, car quelques arnaques peuvent subsister.

Autoscout24.de

C’est l’un des leaders européens de l’annonce auto, avec plus d’un million d’annonces disponibles. Plus de 90 % des annonces concernent des voitures d’occasion, mais vous y trouverez aussi des véhicules neufs. Très bien conçu, le site permet de filtrer selon des critères précis et d’accéder à de nombreux vendeurs professionnels. La plateforme est globalement fiable, mais là aussi, une vérification du véhicule reste indispensable avant achat.

Leparking.fr

Site français qui agrège des annonces issues de plusieurs plateformes allemandes. L’interface est accessible pour ceux qui ne parlent pas allemand ou anglais. Les prix y sont souvent un peu plus élevés, car les annonces sont en grande majorité postées par des professionnels. Il reste toutefois une bonne porte d’entrée pour découvrir l’offre allemande, à condition de bien vérifier la source des annonces et le sérieux du vendeur.

Quoka.de

Un site plus confidentiel, exclusivement en allemand, qui regroupe environ 300 000 annonces. Il est principalement utilisé par les Allemands eux-mêmes, ce qui signifie moins de concurrence internationale sur les bonnes affaires. Si vous parlez un minimum allemand (ou utilisez un traducteur en ligne), cela peut être un excellent moyen de repérer une pépite peu visible ailleurs.

Ooyyo.com

Ce site d’annonces multilingue regroupe environ 1,2 million d’annonces de voitures, dont une grande partie provenant d’Allemagne. Son interface est très simple à utiliser, avec des filtres pratiques. Il est apprécié pour son accessibilité et la clarté des annonces, mais comme pour les autres plateformes, c’est à l’acheteur de vérifier la véracité des informations.

💡 Conseil : privilégiez les vendeurs professionnels avec des coordonnées vérifiables, un bon historique et un descriptif complet du véhicule. Évitez les annonces trop belles pour être vraies, sans photos ou sans numéro de téléphone. Avant tout déplacement ou versement d’acompte, exigez toujours le numéro de série (VIN) et une copie des documents du véhicule.

Étape 2 : Vérifier la fiabilité du véhicule

Une fois que vous avez repéré un véhicule qui vous intéresse, ne vous précipitez pas. Avant même d’envisager un déplacement en Allemagne ou d’organiser un transport, il est crucial de vérifier la fiabilité du véhicule à distance. C’est à ce moment-là que vous éviterez 90 % des mauvaises surprises.

Les vérifications essentielles à faire avant tout engagement


  • Demandez le numéro de série (VIN) : Ce code unique permet de consulter l’historique du véhicule via des plateformes comme CarVertical, AutoDNA ou Histovec (pour les véhicules déjà immatriculés en France). Vous pourrez ainsi vérifier si la voiture a subi un sinistre majeur, un changement de compteur, ou si elle a été déclarée épave dans un autre pays.


  • Demandez les carnets d’entretien et les factures : Un vendeur sérieux doit être en mesure de vous fournir un carnet d’entretien tamponné ou des factures d’interventions. Cela vous permettra de valider que les entretiens ont été faits régulièrement, à des kilométrages cohérents, et dans des garages agréés.


  • Analysez le kilométrage en croisant plusieurs éléments : Comparez le kilométrage annoncé avec l’usure visible du volant, des pédales, du levier de vitesse, des sièges ou du tableau de bord. Un compteur à 90 000 km sur une voiture visiblement fatiguée est un drapeau rouge.


  • Méfiez-vous des véhicules de location ou de leasing déguisés : Certains véhicules proposés comme “première main” ont en réalité appartenu à des flottes de location ou de leasing courte durée. Ils peuvent avoir été conduits de manière agressive ou mal entretenus. Vérifiez les anciens propriétaires indiqués dans les papiers du véhicule.


  • Vérifiez la cohérence administrative : Le vendeur doit être en mesure de vous transmettre une copie de la carte grise allemande (Zulassungsbescheinigung Teil I et Teil II), ainsi qu’un contrôle technique TÜV à jour. En cas de doute ou d’absence de document, passez votre chemin.

Les arnaques fréquentes à éviter absolument

Même sur les plus grandes plateformes, certaines annonces peuvent cacher de vraies escroqueries. Voici les principales à connaître :


  • Véhicule gravement accidenté mais maquillé : Certains vendeurs peu scrupuleux revendent des voitures accidentées lourdement réparées, parfois même importées depuis d’autres pays européens. Les défauts structurels ne sont visibles qu’à l’œil averti.

  • Kilométrage trafiqué : Une arnaque encore trop fréquente, même chez certains professionnels. Le compteur est modifié pour donner l’impression d’un faible kilométrage. C’est pourquoi le croisement du VIN avec les historiques est indispensable.

  • Faux vendeur / fausse société : Des escrocs peuvent usurper l’identité d’un garage ou proposer un “paiement sécurisé” via un faux site de transport ou d’intermédiaire. Méfiez-vous des demandes de virement à l’étranger avant inspection. Ne jamais envoyer d’argent sans avoir vérifié l’existence réelle du véhicule.

  • Blocage administratif pour l’immatriculation en France : Certains véhicules vendus en Allemagne ne disposent pas d’un certificat de conformité européen (COC), ou ont un statut administratif qui empêche l’immatriculation en France (véhicule importé temporairement, statut de leasing, épave restaurée…). Une erreur à ce stade peut coûter plusieurs milliers d’euros.

💡 Conclusion : ne croyez pas sur parole les informations fournies par l’annonce. Il est essentiel d’obtenir des preuves concrètes, des documents, des photos détaillées… ou mieux encore : faire inspecter le véhicule par un professionnel sur place avant toute décision. Cette étape est la plus décisive pour sécuriser votre achat.

Étape 3 : Organiser le transport du véhicule

Une fois le véhicule sélectionné, les vérifications faites et la vente conclue, il reste une étape logistique importante : rapatrier la voiture en France. Plusieurs options s’offrent à vous, avec des niveaux de coût, de sécurité et de simplicité différents. Le choix dépendra principalement de votre budget, du type de véhicule, de la distance et de votre volonté de vous impliquer dans la démarche.

Option 1 : Vous rendre sur place et rapatrier le véhicule vous-même

C’est la solution la plus économique si vous êtes à l’aise avec les démarches administratives allemandes. Elle consiste à prendre le train ou l’avion jusqu’au lieu de vente, puis à repartir avec la voiture par la route.

Pour cela, vous devez obtenir des plaques de transit temporaires (Kurzzeitkennzeichen). Ces plaques jaunes, valables généralement 5 jours, permettent de circuler légalement avec le véhicule jusqu’à sa destination en France.
Pour les obtenir, vous aurez besoin :

  • De la carte grise allemande (Teil I et II)

  • D’une assurance provisoire (souvent fournie avec les plaques)

  • D’un justificatif de contrôle technique TÜV valide

  • De votre pièce d’identité et éventuellement d’une adresse allemande temporaire

💡 Cette option reste réservée à ceux qui maîtrisent un minimum l’allemand ou l’anglais, car les démarches s’effectuent sur place dans les services d’immatriculation allemands. Et attention : certains véhicules ne peuvent pas être couverts par une assurance provisoire (voiture trop ancienne, import hors UE...).

Option 2 : Passer par une société de transport ou d’importation

Si vous souhaitez éviter les tracas ou si le véhicule est situé loin, vous pouvez faire appel à un prestataire spécialisé dans le transport de véhicules internationaux. Il existe deux types de services :

  • Transport par camion porte-voiture, plus cher mais sécurisé et sans kilométrage ajouté

  • Convoyage par chauffeur, plus souple mais soumis aux mêmes contraintes que la conduite personnelle (plaques de transit, assurance)

Les transporteurs prennent généralement en charge toute la logistique : retrait du véhicule, formalités de transit, douanes, livraison à domicile ou au garage. Comptez entre 500 et 1 000 € selon la distance, le type de véhicule et le mode de transport.

💡 Vérifiez bien que le transporteur est assuré et agréé pour les trajets internationaux. Demandez un contrat écrit, des délais précis, et assurez-vous qu’il vous fournisse les documents nécessaires à l’immatriculation en France.

Option 3 : Laisser le vendeur gérer le transport

Certains professionnels allemands, notamment les grosses concessions ou les vendeurs habitués à travailler avec la France, peuvent vous proposer une solution “clé en main” avec :

  • Transport du véhicule jusqu’à votre domicile ou à la frontière

  • Gestion des plaques de transit

  • Livraison avec tous les documents nécessaires

C’est une option confortable, à condition que le vendeur soit sérieux, transparent sur les frais, et que tout soit mentionné dans le bon de commande.

💡 Dans tous les cas, que vous conduisiez vous-même ou passiez par un transporteur, n’engagez aucun transport tant que le véhicule n’a pas été inspecté par un professionnel indépendant. Un défaut mécanique ou un problème administratif non détecté peut rendre l’importation inutilement coûteuse, voire impossible.

Étape 5 : Immatriculer sa voiture allemande en France

Une fois la voiture en votre possession, voici les démarches :

  1. Demander un certificat de dédouanement 846A (même en UE)

  2. Passer un contrôle technique français

  3. Obtenir un certificat de conformité (COC)

  4. Fournir tous les documents à l’ANTS pour l’immatriculation

  5. Régler le malus écologique si applicable

Délai moyen : 2 à 4 semaines
Coût total des démarches (hors véhicule et transport) : 300 à 800 €

Les erreurs à éviter lors de l’import d’une voiture d’Allemagne

Importer une voiture depuis l’Allemagne peut être une excellente opportunité… mais seulement si l’on évite les pièges les plus fréquents. Une erreur à cette étape peut vous coûter plusieurs milliers d’euros, voire rendre le véhicule inimmatriculable en France. Voici les principales fautes à ne pas commettre, même si l’annonce semble sérieuse et le vendeur convaincant.

Acheter un véhicule sans l’avoir vu ni fait inspecter

C’est l’erreur la plus courante — et la plus risquée. Même si les photos sont belles, même si le descriptif semble précis, vous n’avez aucune garantie sur l’état réel du véhicule sans une inspection sur place. Beaucoup de voitures en Allemagne sont revendues après avoir été accidentées, maquillées ou mal entretenues. Sans diagnostic mécanique indépendant, vous achetez à l’aveugle.

💡 La solution : faites inspecter le véhicule par un expert avant achat, surtout s’il est situé à distance. C’est un coût minime au regard des risques évités.

Payer une grosse avance sans garanties claires

Certaines arnaques consistent à réclamer un acompte important pour “réserver” la voiture, puis à disparaître. D’autres vendeurs peu scrupuleux acceptent l’acompte… et vous imposent ensuite des conditions imprévues ou des frais supplémentaires.

💡 Ne payez jamais plus qu’un petit acompte raisonnable (5 à 10 %) sans avoir reçu les documents officiels du véhicule, ni signé de contrat de vente en bonne et due forme. Fuyez les vendeurs qui réclament des virements internationaux sur des comptes au nom différent de la société.

Négliger l’historique administratif du véhicule

L’Allemagne dispose de règles claires en matière d’immatriculation, mais certaines situations peuvent bloquer la procédure en France :

  • Véhicule de leasing non soldé

  • Carte grise allemande incomplète

  • Véhicule importé d’un pays tiers et non homologué

  • Absence de certificat de conformité (COC)

💡 Avant même de penser au transport, assurez-vous que tous les documents sont complets et en règle : carte grise allemande (Teil I et II), TÜV valide, COC, contrat de vente, facture.

Penser qu’un vendeur professionnel est forcément fiable

Beaucoup d’acheteurs se sentent rassurés dès qu’ils voient “professionnel” sur l’annonce. Pourtant, ce terme ne garantit ni l’éthique ni la transparence. Certains vendeurs immatriculent des véhicules comme “première main” alors qu’ils ont connu plusieurs propriétaires, d’autres maquillent des défauts ou jouent sur la langue pour éviter certaines précisions.

💡 Lisez les avis clients, vérifiez le numéro de TVA intracommunautaire, et exigez un maximum de transparence. Et surtout, ne confondez pas professionnel… et inspecté.

Sous-estimer les frais d’immatriculation ou le malus écologique

Un véhicule importé n’est pas simplement à son prix d’achat. Il faut y ajouter :

  • Le transport ou le convoyage

  • Le certificat de conformité s’il n’est pas fourni

  • Les frais de carte grise, parfois majorés selon la puissance

  • Le malus écologique, qui peut atteindre plusieurs milliers d’euros sur un modèle puissant ou ancien

  • Un contrôle technique en France, obligatoire pour immatriculation

💡 Avant de valider la vente, faites une simulation complète du coût total d’acquisition, immatriculation incluse. De nombreux acheteurs pensent faire une bonne affaire… jusqu’à ce qu’ils reçoivent la facture finale.

Pourquoi faire inspecter le véhicule avant importation est indispensable

Même si vous avez repéré une “bonne affaire”, l’inspection du véhicule avant l’achat reste la seule façon fiable de vous protéger. Un vendeur peut cacher un accident, un défaut moteur ou une incohérence kilométrique. Une inspection par un expert permet de lever tous les doutes.

Chez AutoJust, nous proposons des inspections de véhicules en Allemagne, Belgique et Luxembourg. Nos experts se déplacent directement chez le vendeur, analysent plus de 200 points de contrôle, effectuent un essai routier, prennent des photos détaillées et vous livrent un rapport complet sous 48h.

Notre service inclut aussi :

  • L’analyse de l’historique européen du véhicule

  • Une estimation des frais à prévoir

  • Des conseils objectifs pour décider si vous devez acheter… ou passer votre chemin

  • Une aide à la négociation

Conclusion : importer une voiture d’Allemagne, oui mais bien accompagné

Importer une voiture d’Allemagne peut être une excellente opération, mais cela nécessite méthode, vigilance et préparation. En suivant les étapes ci-dessus et en faisant inspecter le véhicule avant toute transaction, vous réduisez les risques et maximisez les chances de faire une bonne affaire.

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